dimanche 5 octobre 2008
Un pastel éxécuté par mon mari
Un petit cours d'eau borde notre jardin, c'est un affluent de la Vanne qui traverse la ville et va se jeter dans l'Yonne. L'eau autrefois claire, ou truites et vairons se cotoyaient, n'est plus, hélas ! qu'une eau polluée par les produits de l'agriculture, et n'a plus qu'une teinte jaunàtre. Nous pouvions nous régaler avec des fritures de vairons, trempés dans une pâte à crêpe, et bien frits, c'étaient un délice. Les enfants venaient s'y baigner, et les femmes laver leur linge dans ce vieux lavoir,qui ne sert plus qu'à ranger quelques outils, mais que voisins et amis, nous fleurissons. Heureusement, ce ruisseau est très apprécié des superbes canards sauvages aux riches couleurs et de leurs compagnes si belles avec leurs yeux bordés de noir ( à la B.Bardot) Le spectacle est quelquefois adorable, au printemps, les bébés duveteux suivent avec indiscipline leur mère, et l'hiver, ils franchissent le jardin pour grignoter quelques mies de pain.
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